Le malheur des uns fait le bonheur des autres

Notre projet d’ouvrir une classe maternelle était au point mort car nous sommes toujours confrontés au même problème : il n’y a pas de compétences locales disponibles sur lesquelles nous baser, et ceci dans à peu près tous les domaines. Concernant les maternelles c’est encore pire, le Cambodge commence juste à démarrer le programme au niveau national.

Une personne d’expérience était donc indispensable et nous avons eu la chance de rencontrer cette enseignante française qui en plus d’une  longue expérience de l’éducation dans les pays pauvres connait très bien le Cambodge et parle le khmer. Son départ forcé de Sihanoukville et son profond attachement au Cambodge l’ont conduite jusqu’à la Jean Cyril School pour le plus grand bonheur des petits et des grands.

      

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