• Le malheur des uns fait le bonheur des autres

    Notre projet d’ouvrir une classe maternelle était au point mort car nous sommes toujours confrontés au même problème : il n’y a pas de compétences locales disponibles sur lesquelles nous baser, et ceci dans à peu près tous les domaines. Concernant les maternelles c’est encore pire, le Cambodge commence juste à

  • On n’arrête jamais d’apprendre

    Les objectifs et le  programme pédagogique de l’école ont évolué avec nos élèves et nos constats. L’anglais et le français restent la base mais tous les ans nous avons intégré de nouveaux besoins, certains faciles comme l’initiation à la culture et à l’histoire khmères mais d’autres plus complexes à enseigner

  • Les jeunes sont formidables

    Nous avons eu le bonheur d’avoir plusieurs équipes de volontaires entre Juin et Aout. Les échanges avec des étrangers est une source d’ouverture formidable et vous ne pouvez imaginer la reconnaissance des enfants pour ces volontaires qui donnent de leur temps mais surtout de leur énergie et volonté d’enseigner.